La hausse des frais de notaire (à l’exception de quelques
départements), résultat de la récente augmentation conjointe du taux de TVA et
des droits de mutation au 1er mars, peut lancer un signal plutôt
négatif pour un potentiel accédant à la propriété.
Sur le marché de la construction, les récentes réformes ainsi que la mise en application des directives de la RT 2012 ne dressent pas un tableau en apparence plus réjouissant de la situation…
Pourtant, avec des taux d’emprunt à un plus bas historique après une nouvelle baisse au cours du mois de février, et un marché de l’immobilier particulièrement favorable à l’acheteur, aujourd’hui, plus que jamais, le moment pour accéder à la propriété semble particulièrement propice.
En effet, si on considère l’aspect des frais de notaire, la hausse de 0,7% ne représentera jamais, sur l’achat d’un bien valant 200 000 €, qu’un surcoût de 1 400 €. Cela ne fait pas plaisir, certes, mais il faut garder en tête le fait qu’en parallèle, une baisse de taux de 0,2% vous fera réaliser, sur ce même bien, une économie de près de 5 000 € sur les intérêts de l’emprunt !
De plus, comme nous l’évoquions dans un précédent article sur le blog, l’offre peut maintenant souvent dépasser la demande, selon le secteur visé : outre les possibilités de négociation du prix que cela ouvre à l’acquéreur potentiel, son choix de biens sera plus grand, et la concurrence moins rude.
Pour résumer, il semblerait que nous soyons à un moment, rare, où nous pouvons avoir la chance de choisir le bien de nos rêves, au bon prix, et avec des conditions de financement jamais rencontrées. Alors, qu’attendez-vous ?
Sur le marché de la construction, les récentes réformes ainsi que la mise en application des directives de la RT 2012 ne dressent pas un tableau en apparence plus réjouissant de la situation…
Pourtant, avec des taux d’emprunt à un plus bas historique après une nouvelle baisse au cours du mois de février, et un marché de l’immobilier particulièrement favorable à l’acheteur, aujourd’hui, plus que jamais, le moment pour accéder à la propriété semble particulièrement propice.
En effet, si on considère l’aspect des frais de notaire, la hausse de 0,7% ne représentera jamais, sur l’achat d’un bien valant 200 000 €, qu’un surcoût de 1 400 €. Cela ne fait pas plaisir, certes, mais il faut garder en tête le fait qu’en parallèle, une baisse de taux de 0,2% vous fera réaliser, sur ce même bien, une économie de près de 5 000 € sur les intérêts de l’emprunt !
De plus, comme nous l’évoquions dans un précédent article sur le blog, l’offre peut maintenant souvent dépasser la demande, selon le secteur visé : outre les possibilités de négociation du prix que cela ouvre à l’acquéreur potentiel, son choix de biens sera plus grand, et la concurrence moins rude.
Pour résumer, il semblerait que nous soyons à un moment, rare, où nous pouvons avoir la chance de choisir le bien de nos rêves, au bon prix, et avec des conditions de financement jamais rencontrées. Alors, qu’attendez-vous ?
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